Ce qui interresse Anne Guillon, c’est le hasard, le caractère aléatoire qui intervient dans la construction de l’espace pictural.
La multiplicité des supports papiers et des techniques de mise en oeuvre donnent vie à ces papiers préparés, mais aussi aux monotypes et linogravures, quand le geste intervient davantage.
Ce vocabulaire est entassé, accumulé dans l’atelier de Anne Guillon, puis choisi au hasard de ce que l’on découvre; c’est la matière première dont sera issue toute mise en espace picturale.
Ce vocabulaire est entassé, accumulé dans l’atelier de Anne Guillon, puis choisi au hasard de ce que l’on découvre; c’est la matière première dont sera issue toute mise en espace picturale.
De l’apport de matière très présent au départ, Anne Guillon choisis aujourd’hui d’intégrer le papier, élément devenu essentiel dans mon travail ; chargé de couleurs, de traces, d’empreintes, je joue avec son association à de nombreuses techniques picturales et ses multiples superpositions au support.